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Les mésaventures d’un garnement dissipé.




Pour que le garnement puisse bien travailler, la maîtresse lui avait fourni un pupitre.












Elle lui avait ordonné de réviser la règle des accords du participe passé qu’il s’obstinait à ignorer.













Mais plutôt que travailler sérieusement pour progresser, le garnement passa son temps à dessiner des sur le bureau et même à graver ave son canif.















Quand la maîtresse découvrit comment le garnement avait passé son temps et qu’il n’avait fait aucun des exercices qu’elle lui avait donnés, elle se mit très en colère. Le garnement savait qu’il serait puni et il se préparait déjà à faire les c lignes que la maîtresse lui imposerait.







Mais il comprit que cette punition ne serait pas la seule quand il entendit la maîtresse lui dire :

« Cette fois encore, tu as dépassé les bornes!Tu vas voir comment on s’occupe des garnement aussi indisciplinés que toi ! Tu peux préparer tes fesses ! »




,Il le savait, il n’échapperait pas à la fessée ! Et la maîtresse le lui confirma tout de suite :


« Mets toi en place, et tout de suite !  Les mais sur le pupitre !»



















Le garnement ne se le fit pas dire deux fois. Il savait que tout retard serait sanctionné sévèrement.

« Baisse – moi ce short, et vite ! »













Le garnement avait honte d’être ainsi en slip, mais il savait qu’il ne pourrait pas y échapper. Mais il fut encore plus effrayé quand il entendit la maîtresse annoncer :

« Pour le slip je vais m’en charger moi même ! »

La maîtresse avait donc décidé de le fesser cul nu ! Comme elle l’en avait menacé souvent. Et aussitôt elle joignit le geste à la parole et le garnement sentit que son slip était descendu !



















Heureusement, il ne tenta pas de s’opposer à ce que la maîtresse lui mette les fesses à l’air. Mais comme il avait honte ! Être cul nu devant la maîtresse ! Quelle honte ! Heureusement, il était tourné vers le pupitre et la maîtresse ne pouvait pas voir l’effet que cela lui faisait …..





Il serrait déjà les dents en attendant que la main de la maîtresse s’abatte sur ses fesses. Mais la maîtresse lui dit d’abord :

« Tu as eu un beau pupitre, et tu l’a abîmé. Tu sais ce qui va arriver n’est-ce pas ?

« Oui, madame ... »

« Alors … ? j’attends ! »
« Vous … enfin je ...je vais ...être puni ? »

« Et comment on punit un vilain garçon comme toi ? »

«Euh … je … je vais ….recevoir une fessée … ? »

« Ah ça tu peux en être sûr ! Et elle va être carabinée, crois-moi ! Une belle fessée cul nu, pour t’apprendre ! Tu sais que tu l’a méritée n’est-ce as ?»

« Oui madame... »

« Mais je te connais tu sais …. alors avec le pupitre il y a une autre surprise .. ouvre le pupitre »

Sans comprendre ce que voulait dire la maîtresse, mais pour ne pas aggraver son cas, le garnement souleva le pupitre …et ce qu’il découvrit le fit frémir et vaciller sur ses jambes …















Une règle en bois et ….un martinet ! »

« Oh ! Non madame ...s’il vous plaît !

Mais au fond de lui, il savait que ses prières ne serviraient à rien.

Et les fesses du garnement firent connaissance avec les coups de règles et les volées de martinet….

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