Un garnement
Un texte d'un "garnement"qui nous a demandé de rester anonyme
Il était une fois
...un grand garnement qui avait entamé une correspondance régulière
avec sa Maîtresse. Celle-ci lui fit remarquer plusieurs fois qu’il
faisait trop de fautes d’orthographe, mais elle constata bien vite
qu’il ne faisait aucun effort pour améliorer son orthographe.
Alors, elle lui imposa des punitions, pour lesquelles il du même
acheter un cahier spécial. A chaque faute, elle lui imposait de
faire des lignes, comme un gamin. De copier dix fois, vingt fois,
trente fois, les règles qu’il ne respectait pas. Mais cela ne
suffit pas, et la maîtresse prit la décision de le punir vraiment.
Alors qu’ils
déjeunaient au restaurant, elle lui imposa de sortir son cahier et
d’écrire sous sa dictée. Les occupants des tables voisines virent
donc ce grand garçon, un peu honteux, entrain d’écrire
soigneusement les phrases qu’elle lui dictait. Puis elle prit son
stylo rouge et fait la correction du travail du garnement. Hélas,
malgré son attention, son travail restait truffé de fautes. Cette
fois, la maîtresse était vraiment fâchée. Alors qu’ils
quittaient le restaurant, elle lui annonça, à voix haute, sans se
soucier de la présence des autres clients du restaurant, qu’il
allait « en prendre une bonne » Et elle ponctua sa menace
d’une claque sur le fond de son pantalon.
Arrivé à leur
hôtel elle lui intima l’ordre d’aller l’attendre dans la
chambre, le nez au mur, et le pantalon baissé sur ses chevilles, et
les mains sur la tête. Le garnement attendit longtemps, avec
l’angoisse que quelqu’un passe dans le couloir et puisse le voir,
puisque la porte, comme l’avait exigé la maîtresse, était restée
entreouverte. Il entendit la porte s’ouvrir. La maîtresse le prit
par la nuque et le fit se pencher par dessus sa cuisse. Lentement,
elle descendit son slip jusqu’à ses genoux. Le garnement se
faisait déculotter, comme un gamin. Et il prit la première fessée
de sa vie. Une fessée longue, brûlante, claquante. Le garnement
savait que le bruit des claques devait s’entendre dans le couloir.
Quelle honte ! Tout le monde allait savoir qu’il prenait sa
fessée ! Une fessée qui faisait mal aux fesses du garnement.
Très mal. Il gémit, gigota, tenta de protéger ses fesses de la
main. Mais, implacable, la maîtresse enleva les mains et poursuivit
la fessée. Puis elle le fit se mettre à genoux, le haut du corps
reposant sur le lit. Et le garnement découvrit la morsure des
lanières du martinet, puis d’une large bande de cuir qui lui
cingla cruellement les fesses. Le garnement découvrait combien une
vraie fessée est douloureuse. Il en avait presque les larmes aux
yeux. Mais le pire restait à venir. La maîtresse sortit de son sac
un bouquet de verges fait de branches de noisetier. Elle avait été
elle-même choisir ces branches et les avait fait tremper toute une
nuit dans l’eau pour les assouplir. Et le derrière du garnement
fut longuement flagellé par ces verges. Le garnement ne pouvait
s’empêcher de geindre, tant ces branches lui lacéraient le cul.
Pour le garnement ce
fut une révélation. Une découverte. Une naissance. Il était puni,
il était fessé. La maîtresse se montrait sévère, impitoyable.
Mais en même temps elle lui faisait un cadeau qu’il n’avait
jamais osé espérer. Comme il n’avait jamais osé imaginer la
manière dont la maîtresse allait le consoler.
Quand le garnement
reprit la route, ses fesses étaient encore brûlantes. Arrivé chez
lui, il les regarda dans le miroir et constata qu’elles étaient
marquées de larges traces violacées. Il en fut fier, tellement
fier.
Mais, malgré la
sévérité de cette volée, et malgré ses efforts, la maîtresse
constata bientôt qu’il continuait à multiplier les fautes
d’inattention. Alors, bien sûr, les punitions recommencèrent. Des
lignes, encore des lignes, qui couvraient des pages entières de son
« cahier de punition » Mais surtout le garnement savait
que, la prochaine fois, la fessée serait plus sévère encore. Il en
avait peur. Il avait honte. L’idée de se représenter dans ce même
hôtel alors que les agents de l’accueil avaient entendu la trempe
qu’il avait prise le terrorisait. Savoir qu’il devrait encore
faire une dictée devant tout le monde l’emplissait de honte. Et
pourtant, il n’avait qu’une envie, qu’une attente : être,
une nouvelle fois déculotté, être une nouvelle fois puni, être
une nouvelle fois fessé.
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