La maîtresse fâchée
La Maîtresse fâchée.
Le garnement n’a pas
répondu aux messages de sa maîtresse. Celle-ci est fâchée, vraiment fâchée.
Elle a prévenu le garnement, la punition va tomber, et sans tarder. Les ordres claquent :
« Vous vous déculottez,
immédiatement ! »
Sans, tarder, le
garnement s’exécute. Il dégrafe sa ceinture, et baisse son pantalon, sous
lequel il porte un slip rayé bleu et blanc. Mais cela ne suffit pas à la
maîtresse qui précise :
« Cul nu ! Et tout de suite »
Le garnement le sait
bien, il va prendre sa fessée, comme un sale gamin. Et pour la maîtresse, il le
sait bien, la fessée ce reçoit cul nu. Honteux, mais vaincu, le garnement fait
glisser son slip et découvre son derrière encore blanc.

L’instant d’après, il
est déjà allongé au travers des genoux de la maîtresse, et les claques tombent
dru sur ses fesses. Bien qu’il gigote, agite les jambes, et geint, la maîtresse
poursuit la fessée sans faiblir. Après
quelques minutes, les fesses du garnement sont toute rouges. La maîtresse
l’autorise alors à se relever, mais c’est pour immédiatement l’envoyer au coin,
mains sur la tête et toujours cul nu.

Mais la punition
n’est pas finie. La maîtresse s’empare du martinet. Le garnement ne se fait
aucune illusion, ses fesses vont connaître la morsure des lanières. Ses
jérémiades n’y changeront rien, la décision de la maîtresse est irrévocable.

La maîtresse s’empare
du martinet, un bel objet, au manche de bois bleu avec une chevelure de
lanières de cuir fauve. Et, à vingt
reprises, le martinet flagelle le derrière du garnement qui sautille sur place.
Ses fesses sont maintenant zébrées de longues traces bien visibles.
La maîtresse lui
impose alors de se pencher sur le bureau, en exhibant bien son postérieur
cramoisi.

Et c’est alors la
redoutable baguette de bois qui entre en scène. Elle claque sans pitié le
derrière offert.

Le garnement craint
plus que tout cet instrument qui va frapper cruellement ses fesses déjà bien
malmenées.
Puis c’est un nouveau
séjour au coin. Le cul toujours nu, bien sûr.

Le garnement est
honteux, il tente de cacher son intimité.

Et après, c’est
directement au lit, toujours le cul à l’air. Une lune rouge et chaude.

Alors seulement, la
maîtresse va consoler le garnement….
Merci, ma chère
maîtresse !
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