Sur l'air du Gorille


« Gare à tes feeeeses ! »



(Air du « Gorille »)

Quand  il est tout habillé,
Le garnement fait le kéké,
Mais quand il a le cul tout nu,
Alors là il ne le fait plus !
Gare à tes feeeeses, gare à tes fesses !

Il baisse vite sa culotte
Pour faire corriger ses fautes,
Et se retrouve déculotté
Pantalon et slip baissé.
Gare à tes feeeeses, gare à tes fesses !

A la main ou au martinet,
Son petit cul sera frappé,
Et ses cuisses parfois aussi
Malgré les pleurs et les cris.
Gare à tes feeeeses, gare à tes fesses !

Il aura l’popotin tout rouge
Et gare à lui si il bouge,
C’est la badine que la maîtresse
Appliquera sur ses fesses.
Gare à tes feeeeses, gare à tes fesses !

Un petit séjour au coin
Ca aussi ça vient à point
Pour que le vilain garçon
Apprenne mieux ses leçons.
Gare à tes feeeeses, gare à tes fesses !

Mains sur la tête cul à l’air,
Pour lui ce s’ra la misère,
Et pour celle qui le punit,
L’image qui la réjouit.
Gare à tes feeeeses, gare à tes fesses !

Encore heureux s’ils sont à deux
Mais l’garnement craint un peu
La raclée devant tout le monde
Sur ses fesses toutes rondes.
Gare à tes feeeeses, gare à tes fesses !

Là ce serait vraiment la honte
Etre vu ainsi, tu te rends compte,
Etre fessé ainsi en public,
Et montrer son cul rouge brique !
Gare à tes feeeeses, gare à tes fesses !


Même comme si devant Fernande,
Il arrive que l’garnement bande
Il a quand même un peu la trouille
Même si la maîtresse mouille.
Gare à tes feeeeses, gare à tes fesses !

Au grand Georges, un grand merci
Puisqu’il m’a ainsi permis
D’emprunter musique et mots
Pour composer ce p’titi cadeau.
Gare à tes feeeeses, gare à tes fesses !















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