Une fessée, et au lit !


Les mésaventures du garnement


« Une fessée et au lit ! »


Les craintes du garnement

Ce soir là, le garnement n’en menait pas large en rentrant à la maison. Il le savait, ses nombreuses insolences de la journée ne resteraient pas impunies. Il avait prononcé des mots que la Maîtresse ne saurait tolérer, et, surtout, il avait osé lui tirer la langue. Une telle insolence lui vaudrait à coup sur une punition mémorable. Il regrettait déjà d’avoir une fois encore cédé à ses vilains penchants, mais, il le savait, il était trop tard pour revenir en arrière. Il ne se faisait aucune illusion, la Maîtresse ne laisserait pas passer de tels comportements. La fessée était inévitable.

La fessée déculottée

Alors qu’il s’approchait de la maison, le garnement imaginait déjà l’accueil qui lui serait réservé. Comme à chaque fois que la maîtresse était vraiment fâchée, ce serait la fessée, et cul nu ! Mais il ne savait pas si la Maîtresse le déculotterait, comme la semaine dernière, ou si elle lui imposerait de baisser lui-même sa culotte, comme elle le faisait parfois.
Etre déculotté par la Maîtresse était toujours terriblement humiliant pour lui. Sentir les mains de la Maîtresse dégrafer sa ceinture, ouvrir le bouton de son pantalon, ouvrir sa braguette, et enfin faire descendre son pantalon jusqu’à ses chevilles le ramenait à sa condition de vilain garçon que la Maîtresse met cul nu. Puisqu’il savait bien sûr qu’elle ne se contenterait pas de lui baisser le pantalon. Le slip suivrait inévitablement le même chemin. La Maîtresse glisserait ses doigts sous l’élastique de son slip, puis le ferait glisser lentement, jusqu’à ses genoux. Il sentirait l’air frais sur ses fesses, mais saurait que cette fraîcheur ne serait que passagère, et qu’immédiatement après ses fesses seraient portées à incandescence.
Mais il craignait peut-être encore plus d’être obligé de se mettre lui-même le derrière à l’air. Devoir ainsi se déculotter lui-même, c’était comme s’offrir volontairement à la fessée, presque comme la demander. Le plus difficile, c’était quand la maîtresse l’envoyait au coin, les fesses exposées, avant de lui flanquer la fessée qu’il savait pourtant inéluctable. Cette attente, le nez au mur, les mains sur la tête, était encore plus angoissante que quand la Maîtresse le courbait immédiatement sous son bras, le déculottait, et se mettait aussitôt à lui claquer les fesses. Il savait qu’inévitablement, elle finirait par prononcer les mos qu’il redoutait : « Allez, mets toi en position, garnement ! » Il lui faudrait alors rejoindre la Maîtresse, la voir désigner ses cuisses du doigt, et aller docilement s’y allonger.

En pyjama !

Mais, ce soir là, rien ne se passa comme il l’avait imaginé. Dés qu’il fut rentré, la Maîtresse lui lança :
«Tu vas prendre ta douche, tu mets ton pyjama,  et tu files dans ta chambre »
Sur un ton qui lui ôta toute velléité de discuter. D’autant qu’alors qu’il montait l’escalier, il entendit la Maîtresse ajouter  entre ses dents :
« Ce soir, ce sera une fessée et au lit ! »
Alors qu’il laissait couler l’eau, il savait donc déjà qu’il prendrait bel et bien sa fessée. Pourtant, sans en être vraiment conscient, il resta plus longtemps que d’habitude sous la douche, sans se rendre compte qu’il allait ainsi encore exaspérer un peu plus la Maîtresse.

En position !

Quand, après avoir enfilé son pyjama, il entra dans sa chambre, elle était déjà assise sur le lit. Elle ne prononça pas un mot, mais désigna juste ses genoux d’un geste du doigt que le garnement connaissait bien.  Un index pointé vers les cuisses fuselées de la Maîtresse, gainées par ses bas soyeux. Le garnement ne posa pas de question. Il s’avança vers elle, les yeux baissés. Elle leva la tête vers lui, et, d’un mouvement bref et précis, elle baissa le pantalon du pyjama, qui tomba sur les chevilles du garnement. Jamais peut-être, il n’avait été déculotté aussi prestement. Elle le saisit alors par l’oreille, et l’amena au travers de ses genoux.

Fessé

Aussitôt la main sèche et dure de la maîtresse entra en action. Elle claquait alternativement chaque fesse, à la volée. Après une dizaine de claques, les jambes du garnement se mirent à gigoter, et il tenta de se protéger le derrière de la main. Mais la Maîtresse lui saisit le poignet et lui ramena le bras dans le dos. Et la fessée repris, implacable. Elle dura longtemps, amenant les fesses du garnement à une couleur rouge carmin. Au début, la Maîtresse avait laissé quelques secondes entre chaque claque, comme pour permettre au garnement de bien en sentir les impacts. La main laissait ainsi une marque blanche, éphémère, sur la peau rougie, comme les pas sur le sable humide d’une plage. Mais le rythme changea brutalement. La main se mit à monter et descendre de plus e plus vite. C’était alors une véritable averse de claques que recevait le derrière endolori. Mais ni les cris, ni les plaintes, ni même les supplications et les promesses du garnement n’attendrirent la Maîtresse. Ce ne fut que quand le postérieur du garnement ait été amené à la couleur d’une tomate mure que la fessée cessa.


Au coin !

Quand il se fut remis debout, piétinant sur place et se frottant les fesses brûlantes dans le vain espoir d’atténuer la cuisson qui les embrasait, il esquissa le geste de remonter sa culotte. Mais la voix impérieuse de la maîtresse l’interrompit :
« Je ne t’ai pas autorisé ! Au coin, et les mains sur la tête ! »
Le garnement ne se le fit pas dire deux fois. Craignant que le moindre prétexte ne déclenche une nouvelle avalanche de claques, il s’empressa d’obéir. Il fit quelques pas, les jambes entravées par la culotte restée sur ses chevilles, et se place docilement le nez contre le mur, les mais croisées sur la tête. Il avait pourtant un instant espéré que les circonstances particulières de cette fessée vespérale lui éviteraient ce séjour au coin qu’il redoutait particulièrement. De même, il comptait que l’annonce « une fessée et au lit » signifierait qu’il rejoindrait celui-ci dés que la Maîtresse aurait considéré que la mise au coin aurait été assez longue pour qu’il prenne conscience de ses fautes. Aussi il eut une sorte de haut-le-cœur quand il entendit la Maitresse annoncer :
« Et maintenant, en position, les mains sur le lit ! »

La badine

Il se retourna, permettant ainsi à la Maîtresse de constater les effets de la fessée mémorable qu’il venait de recevoir sur sa virilité, et se dirigea vers le lit, le sexe balançant au rythme de ses pas. Il se pencha et posa les mains ouvertes sur le lit. C’est alors qu’un sifflement sinistre le fit tressaillir.

La Maîtresse ne s’était pas emparée du martinet, comme il l’avait craint tout d’abord, mais de la terrible baguette. L’instrument que le garnement redoutait le plus. Une de ces branches de noisetier que la Maîtresse avait elle-même coupées et réunies en faisceau de verges. Mais le bruit si caractéristique lui fit comprendre que, cette fois-ci, elle n’utiliserait qu’une badine, et le garnement savait d’expérience que cela serait bien plus douloureux. A plusieurs reprises, la Maîtresse fit ainsi siffler la baguette, provoquant un frémissement de tout le corps du garnement. Et, soudain, la badine s’abattit au travers de ses fesses.  Un rai de douleur le fit se redresser comme un ressort, et il plaqua ses mains sur son derrière en sautillant sur place. La Maîtresse attendit patiemment qu’il cesse cette dans de Saint Guy, continuant tranquillement à agiter la baguette, se qui fit comprendre au garnement qu’elle avait bien l’intention de poursuivre la punition. Il se remit alors de lui-même en position et, onze fois, l’implacable badine vint ainsi cingler son derrière, laissant à chaque fois une marque rectiligne sur la rondeur du postérieur.

Et au lit

Et il lui fallu encore retourner au coin, le derrière zébré, avant qu’enfin la Maîtresse ne vienne remonter la culotte du pyjama et ordonne :
« Et maintenant, au lit ! »
Il ne se le fit pas dire deux fois, et se glissa sous les draps, grimaçant de douleur. Bien entendu, il s’allongea sur le ventre, et, quand il posa les mains sur son cul, il sentit la chaleur de celui-ci au travers du pyjama. Il était presque déjà endormi quand la Maîtresse vint déposer un bisou sur sa tempe …

Lendemain

On ne saurait dire si la nuit du garnement fut calme. Ou si ses rêves – ou ses cauchemars – avaient été peuplés d’images de derrières déculottés, de fesses rougies, de mains qui claquent ou de lanières et de baguettes qui cinglent. Il se réveilla en tous cas à la fois muni d’une solide érection, et les fesses encore un peu douloureuses de la séance de la veille. Du reste, quand il les regarda, en se contorsionnant, dans le miroir de la salle de bain, il constata que si elles étaient redevenues blanches, elles restaient cependant marbrées de traces bleues. Même sans celles-ci, il ne risquait pourtant pas d’oublier combien la fessée de la veille avait été mémorable. Ce que la Maîtresse appelait « une fessée d’anthologie » ou une « fessée magistrale »Et pour être magistrale, elle l’avait en effet été. Il pouvait donc légitimement penser qu’il avait payé – « par les fesses » comme aimait à le dire la Maîtresse – ses récentes incartades.

Reprise

Mais il avait malheureusement sous estimé la colère de celle-ci. Aussi, ne prit-il pas garde au regard encore noir de la Maîtresse. Et il fut totalement stupéfait quand il l’entendit annoncer, alors qu’il s’apprêtait à quitter la maison :
« Pas si vite, nous avons encore des choses à mettre au point, tu sais. »
Interdit, il tenta de balbutier :
« Mais …Maîtresse … je .. je n’ai rien … »
Elle ne le laissa pas finir sa phrase :
« Il me semble que c’est à moi d’en décider ! »
Et aussitôt l’ordre tomba :
« Allez me chercher le martinet, tout de suite. »
Le martinet ! Le mot, à lui seul, suffisait pour que les jambes du garnement flageolent. La perspective de recevoir une volée de cet instrument redoutable sur un derrière encore douloureux de la veille lui semblait une gageure. Il tenta, une fois encore, de repousser l’échéance :
« Le … le martinet … mais …pourquoi faire …Madame ? »
La question, incongrue, fit éclater de rire la Maîtresse :
« Pour quoi faire ? Tu demandes pour quoi faire ? Tu ne sais pas à quoi sert un martinet ? Eh bien, je vais te l’apprendre, et je pense que tu vas vite comprendre »
Si le garnement avait été raisonnable, il se serait empressé d’obéir, pour éviter d’aggraver encore son cas. Mais, s’il avait été raisonnable, il n’aurait pas été un garnement. Aussi s’enfonça-t-il encore un peu plus en grommelant entre ses dents :
« C’est même pas juste ! »
Mal lui en prit. La Maîtresse reprit le mot au vol :
« Ah ce n’est pas juste ? Mon garnement se permet de juger de ce qui est juste ou pas maintenant ! Très bien, je vois que notre séance d’hier soir n’a pas été suffisante. Aussi, ce qui ne devait être qu’un petit rappel pour éviter que tu n’oublies les bonnes résolutions va se transformer en vraie fessée, puisque tu insiste ! »
Et elle fondit sur lui comme un faucon sur sa proie, le fit se courber sous son bras gauche dont elle enserra sa taille, baissa prestement le pantalon et le slip, et se mit à fesser à la volée les fesses dénudées.

On va nous voir !

Cette fois, dés les premières claques sonores, le garnement poussa des cris d’orfraie. La peau, encore sensible, ressentait la fessée plus douloureusement que la veille. Abandonnant tout fierté, il se mit à implorer la Maîtresse :
« Arrêtez, Madame ! Assez § Ca fait trop maaaal ! Je le ferais plus, Madame … »
Sans que ses supplications et ses criailleries ne fassent en rien diminuer ni la vitesse ni l’intensité de l’averse de claques que recevait son postérieur ravagé de douleur. Mais, surtout, il parvint à crier :
« Madame …s’il vous plait …on pourrait me voir … »
En effet, la Maîtresse était entrain de la fesser d’importance au beau milieu du salon, et les rideaux de la grande baie vitrée étaient restés ouverts. Malgré la soudaineté de la décision de sa Maîtresse, et malgré la violence de la raclée qu’il prenait, le garnement avait compris que le premier passant venu aurait pu apercevoir ce grand garçon déculotté entrain de se faire fesser le cul nu.  Et cette possibilité le terrorisait. Quand la Maîtresse l’entendit, elle continua à la fesser, tout en ponctuant les claques de ses commentaires ironiques :
« Eh oui – clac – tout – le- monde- vlan – va-voir-que-le garnement-paf- prend –sa-fessée-cul nu ! »
Le garnement était devenu aussi mou qu’une poupée de chiffon, et la Maîtresse avait presque du mal à le faire tenir debout. Il fermait les yeux, d’où les larmes coulaient maintenant, comme les enfants qui croient que s’ils ne voient pas ils ne peuvent pas être vus. Mais, hélas, il était bien conscient que, justement, il n’en était rien. Il était bel et bien exposé aux regards de possibles passants. Il recevait bel et bien cette «fessée devant tout le monde »  dont la Maîtresse l’avait souvent menacé sans jamais passer à l’acte.

« Eh bien on te verra ! »

Quand elle cessa la fessée, la Maîtresse ne nia pas le moins du monde que les craintes du garnement aient été fondées. Bien au contraire, tout en l’amenant, toujours le cul nu, jusqu’au coin de la cheminée, elle confirma :
« Eh oui, bien sûr qu’on pourrait te voir, garnement ! Eh bien … on te verra, et alors ? »
Et tandis qu’elle l’installait, lui mettant d’autorité les mains sur la tête, elle ajouta ::
« Comme on verra le garnement mis au coin le cul à l’air, où est le problème ? Le garnement a cherché sa volée, il l’a eue ! Il est mis au coin, c’est la règle, il la connaît. Et je ne vais pas fermer mes rideaux pour cela ! »
Et, malgré sa peur, sa honte, et ses gémissements, elle laissa son garnement ainsi, fesses nues, tremblant, piétinant, et regrettant amèrement – mais un peu tard – ses insolences qu’il payait au prix fort.

De la suite dans les idées

D’autant que, la Maîtresse ayant décidemment de la suite dans les idées, quand elle décida que le séjour au coin avait assez duré, elle en revint à son intention première, et le garnement dut, quoi qu’il lui en coûta, aller lui-même chercher le martinet qui allait poursuivre la punition. Les jambes entravées par le pantalon et le slip tombés à ses chevilles, il traversa la pièce à petits pas, alla dans le placard de l’entrée où le martinet était accroché, et il le rapporta comme la Maitresse le lui avait ordonné.
 Il suffit à celle-ci d’un geste du doigt lui indiquant le grand fauteuil pour qu’il comprenne qu’il lui faudrait aller se pencher par-dessus son dossier. Le garnement avait, maintenant, perdu toute volonté de même seulement tenter d’amadouer la Maîtresse. Comme un pantin, il prit la position qu’il savait devoir prendre, les mains appuyées sur le siège, les jambes écartées autant que la présence du slip le lui permettait, et les fesses bien présentées.
Et les lanières du martinet entrèrent en action. A douze reprises, la chevelure de cuir vint cingler le derrière, mais aussi les cuisses, du garnement. Qui ponctuait chaque coup d’un cri de douleur, mais qui veilla à ne jamais tenter ni de se redresser, ni de protéger son popotin de ses mains. La Maîtresse se réjouit ouvertement de ces bonnes dispositions et, clémente, elle annonça :
« Voilà, c’est ainsi qu’un garnement doit recevoir sa punition, je vois que tu as compris, maintenant. Tu peux te relever, et je te dispense du coin pour ce matin. Remonte ta culotte, et file. Ne sois pas en retard ! »
Le garnement ne se le fit pas dire deux fois. Il remonta ses vêtements, renifla une fois ou deux, et fila prestement, de peur que la Maîtresse ne revint sur ses décisions. Mais il eut cependant le temps d’entendre celle-ci dire :
« Désormais, ce serra le tarif : pour chaque bêtise, chaque insolence, la fessée cul nu et au lit ! »
Et elle ajouta surtout :
« Et pour que mon garnement se souvienne des règles, chaque matin, il aura droit à sa fessée de rappel ! »

La règle

C’est ainsi que s’installa, pour le garnement, ce que la Maîtresse appela désormais « la règle » Chaque faute fut sanctionnée le soir par une bonne fessée cul nu. A la main quand la faute était considérée comme vénielle, mais inévitablement au martinet et à la badine dés qu’il retombait dans les insolences. Et, quelque fussent ses efforts, le garnement connu encore régulièrement ces soirs de fessée au cours des mois qui suivirent. Mais surtout, et jamais la Maîtresse ne manqua à cet engagement, chaque matin, quelle qu’ait été sa conduite la veille, le garnement eut droit à sa fessée au travers des genoux de la Maîtresse. Les premiers jours, il tenta bien de regimber, arguant du fait qu’il n’avait commis aucune faute. Mais la Maîtresse lui expliqua doctement :
« Mais je le sais bien. D’ailleurs, si tu n’avais pas été sage, tu le sais très bien, tu aurais pris ta raclée hier soir. Cette fessée matutinale n’est pas une punition, mon garnement. Elle est seulement le moyen de te rappeler les règles. »
Dés lors, il cessa de résister et prit en quelque sorte l’habitude de cette fessée préventive. C’était devenu pour lui une sorte de rituel, comme le lavage des dents ou le petit-déjeuner. La Maîtresse n’eut bientôt même plus à le lui rappeler. Selon les jours, dés qu’il se levait, ou après avoir pris son petit déjeuner, il se présentait devant la Maîtresse, baissait de lui-même ce qi protégeait son derrière, et s’installait au travers des genoux de la Maîtresse. Posément, sans colère, sans cris ni reproches, celle-ci lui mettait alors une solide fessée. Quand le derrière du garnement avait atteint la teinte qui indiquait à la Maîtresse que la fessée avait été suffisante à ses yeux, elle le faisait se remettre debout, il remontait sa culotte et ne manquait jamais de murmurer :
« Merci, Madame »
Il est vrai que les quelques rares fois où il avait cru pouvoir se dispenser de ces remerciements paradoxaux, cela lui avait valu, immédiatement, une seconde fessée plus cuisant encore que la première. Après cette fessée devenue rituelle, il partait, et les picotements de ses fesses lui rappelaient, en effet, qu’il était de l’intérêt de celles-ci qu’il se tienne à carreau.
Mais, garnement il avait été, garnement il restait, et garnement il resta. Et il y eut encore bien d’autre soirs qui furent marqués, pour le garnement, de l’incontournable : « Ce soir, une fessée, et au lit ! »
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