Les découvertes du Garnement
Les découvertes du Garnement
Première partie : Devant et par une inconnue !
Une insolence
. Pour le Garnement, ce mercredi, alors que sa Maîtresse
recevait pour le thé une de ses anciennes collègues, fut un jour de découverte.
Jusque là, seule sa Maîtresse s’était occupée de ses fesses. Et s’il lui était
arrivé de le menacer d’une « fessée devant tout le monde » il n’avait
jamais imaginé que cela puisse lui arriver réellement. C’est justement le fait
qu’il y avait une invitée à la maison qui l’avait amené à grommeler un « Oui, oui, ça va, y’a pas l’feu » quand
la Maîtresse lui avait rappelé qu’il avait encore des devoirs à faire. Il
savait bien, au fond de lui, que la Maîtresse ne laisserait pas passer une
telle attitude, qu’elle lui vaudrait au minimum un passage au travers de ses
genoux, et sûrement même une rencontre claquante avec le martinet ou la brosse.
En effet, il connaissait assez les exigences de la Maîtresse pour savoir qu’elle
ne tolérerait pas un tel langage. Mais jamais il n’avait imaginé qu’elle puisse
le punir sur le champ.
Immédiatement !
C’est pourtant bien ce qu’il advint, et le Garnement resta
un instant pétrifié quand il entendit sa Maîtresse lui lancer :
« Tu l’auras voulu ! »
Puis demander, d’une voix suave, à sa collègue :
« Je vous prie de m’excuser, chère collègue, mais vous comprendrez
que je doive réagir sans tarder, je pense »
A quoi l’autre répondit, sur le même ton :
« Mais je vous en prie, chère amie, vous êtes chez vous, et je ne
voudrais pour rien au monde vous empêcher d’agir comme bon vous semble. Vous
savez, j’ai moi aussi une gamine à qui il arrive d’avoir besoin d’une reprise
en main, et il est des circonstances où celle-ci ne peut attendre. »
La Maîtresse la remercia d’un sourire, puis se tourna vers
le Garnement en lui indiquant, d’un geste qu’elle l’attendait sur ses genoux.
Le Garnement connaissait bien ce geste de l’index désignant les genoux de la
Maîtresse, et elle n’eut pas à ajouter le traditionnel « en place immédiatement » pour qu’il comprenne où elle
voulait en venir.
« Ah ! Il me semble que vous employez les mêmes méthodes que
moi, ma chère ! »
S’exclama la collègue de la Maîtresse avant même qu’il eut
le temps de répliquer. Et celle-ci confirma :
« Je ne sais pas comment vous vous y prenez, chère collègue, mais
en effet, pour moi, les insolences, c’est la fessée, immédiate. »
« Et vous avez bien raison, croyez moi. »
Surenchérit son interlocutrice en ajoutant :
« Quoiqu’on en dise, il n’y a que cela
d’efficace, une bonne fessée qui remet les pendules à l’heure »
Et elle continua, comme si elle était entrain d’échanger une
recette de cuisine avec sa collègue :
« Et chez moi, vous savez, la fessée,
c’est toujours cul nu ! »
« Evidemment ! »
Confirma la Maîtresse tandis que la Garnement restait bouche
bée et les bras ballants. Il n’osait comprendre : la Maîtresse avait bel
et bien l’intention de la punir en présence de cette inconnue pour lui. Bien
qu’il sache que la Maîtresse ne renonçait jamais quand elle avait décidé d’une
punition, il tenta :
« Mais …Madame ..c’est pas possible
…j’mexcuse …j’le ferai plus … »
La Maîtresse esquissa un sourire un peu sardonique et le
reprit :
« Je pense avoir déjà dit qu’on ne dit
pas « je m’excuse » mais « je vous prie de m’excuser,
Madame » et que j’aime que l’on s’exprime dans un français correct,
non ? »
Le Garnement se rendait compte qu’il s’enfonçait et
aggravait son cas, ce que la Maîtresse confirma, tout en répétant son geste
comminatoire :
« Eh bien, un petit supplément rappellera les règles en même temps que les
bonnes manières ! »
Le Garnement sentait ses jambes flageoler, et le rouge lui
monter aux joues. Il balbutia vaguement :
« Mais …Madame …pas …pas maintenant
…pas …enfin… »
La Maîtresse eut un mouvement d’agacement :
« Oh que si, maintenant,
justement ! Ce qui n’empêchera pas de noter cette insolence sur le carnet
de punition pour que j’en tienne compte le moment venu. Mais quand j’ai dit
« immédiate », …
Bien sûr le Garnement
savait ce que cela voulait dire. Comme il savait qu’aux yeux de la Maîtresse une
fessée reçue sur l’instant mais notée dans le cahier de punition entraînait
systématiquement que la faute serait sanctionnée lors de ce que la Maîtresse
appelait la « fessée récapitulative » Mais la présence de la collègue
de la Maîtresse le terrorisait. Il restait donc immobile, ce qui contribua à
exaspérer encore plus la Maîtresse qui demanda
« Faut-il que je vienne te
chercher? »
Cette fois, il abandonna tout espoir d’échapper à ce qu’il
comprenait maintenant être inéluctable. La perspective d’être pris par
l’oreille comme il arrivait qu’il le soit suffit à le convaincre qu’il n’avait
plus qu’à se soumettre à la décision de sa Maîtresse. La tête basse, il avança
vers elle à petits pas.
« Bien, quand même ! Ne perdons
pas de temps. Allons, baisse- le,
immédiatement ! »
Les dés étaient jetés, plus rien ne pourrait l’empêcher, il
allait bel et bien être fessé, et cul
nu !
La honte !
Il eut du mal à dégrafer sa ceinture, tant ses mains
tremblaient. Pourtant, docile, il l’ouvrit puis fit glisser son pantalon
jusqu’à ses chevilles. La Maîtresse hocha la tête, puis, immédiatement elle
glissa deux doigts sous l’élastique du slip à rayures et le fit descendre
jusqu’aux genoux. La honte submergeait le Garnement. Avoir la lune mise à
l’air, il en avait en quelque sorte l’habitude. Mais c’était la première fois
que cela arrivait en présence d’un tiers. Instinctivement, il mit les mains en
coque devant son bas-ventre, comme si cela préservait un peu de sa pudeur. Il
ne vit pas le sourire ironique qui illumina le visage de la Maîtresse, et il se
dépêcha de cacher ce qu’il avait tellement honte de montrer en s’allongeant sur
ses genoux. Il ne vit pas non plus le sourire approbatif de la collègue qui
découvrait ses fesses ainsi exposées.
Immédiatement l’averse s’abattit sur elles, tandis que la
Maîtresse scandait :
« Comme – cela – tu – sauras – comment
– on – répond – à –sa-Maîtresse ! »
Chaque mot étant accompagné d’une vigoureuse claque. Le
Garnement s’efforçait de rester inerte, et silencieux, pour ne pas donner à la
visiteuse le spectacle de ses jérémiades. Mais cette sorte de résistance, loin
d’amadouer la Maîtresse, l’incita au contraire à accroitre la vigueur des
frappes. Sa main claquait alternativement chaque fesse, en aller-et retour, les
faisant ballotter de droite à gauche. Très vite, le sommet du derrière du
Garnement s’orna d’une sorte de calotte rouge, tandis qu’il serrait
désespérément les fesses. Comme si elle voulait colorer régulièrement ce
qu’elle fustigeait, la Maîtresse se mit alors à distribuer les claques sur
toute la surface offerte à sa main. Les claques tombaient implacablement sur le
dessous des fesses, sur les côtés, mais aussi parfois sur le haut des cuisses
dénudées. Le Garnement ne put alors s’empêcher d’agiter les jambes, comme si
ces mouvements désordonnés pouvaient atténuer la brûlure qui embrasait son
postérieur. Ce faisant, il découvrait irrémédiablement son entrejambe, et il ne
pouvait ignorer qu’en gigotant il risquait même d’exposer son trou le plus
secret. Mais la douleur était telle qu’il n’en avait cure. En même temps, il ne
parvenait plus à réprimer ses gémissements, et les rafales de claques qui
continuaient à déferler sur son cul étaient maintenant ponctuées de
« Aille », de « Ouille », et même de pitoyables « Oh ! Non ! Assez
Madame ! » qui résonnaient dans la pièce.
Quand enfin la main de la Maîtresse cessa de fustiger le
derrière maintenant rouge brique, le Garnement resta quelques instants comme
prostré, cherchant à reprendre sa respiration et à réprimer les sanglots qui le
submergeaient. La Maîtresse, un peu attendrie par l’état dans lequel elle avait
mis son postérieur, le tapota presque tendrement, puis elle se reprit et
ordonna :
« Debout maintenant, et tu files
au coin, les mains sur la tête bien
sûr ! »
Le Garnement ne demanda pas son reste, il se releva
péniblement, et, toujours les mains devant son intimité, il se dirigea vers le
coin de la bibliothèque, les jambes entravées par le pantalon et le slip qu’il
ne se risqua pas à tenter de remonter, sachant fort bien que le séjour au coin
devait être les fesses nues. Une fois en place, tourné vers le mur, il
n’attendit pas que la Maîtresse le lui ordonna pour mettre ses deux mains, les
doigts entrecroisés, sur sa tête. De même, s’il ne pouvait s’empêcher de
piétiner sur place, il ne tenta pas de se frotter les fesses sans autorisation
ce qui, à coup sûr, lui aurait valu un nouveau passage au travers des genoux de
la Maîtresse. S’il était toujours honteux – et comment ! – d’exposer ainsi
ses fesses aux regards des deux femmes qui, maintenant, sirotaient leurs tasses
de thé, son derrière était maintenant beaucoup plus rouge que ses joues.
Commentaires
Il entendit alors les deux femmes qui avaient repris leur
conversation comme si de rien n’était :
« Ah, ma chère, je vois que vous n’avez
pas perdu la main ! Je vous l’avoue, ça fait plaisir de voir que les
bonnes vieilles méthodes ont encore leurs adeptes, et je dois dire que vous n’y
allez pas de main morte : »
« Je vous remercie de votre
appréciation, chère collègue. Vous savez bien qu’il faut ce qu’il faut !
Et, croyez-moi, ce garnement n’en a pas fini ! Dès ce soir il sera à son
pupitre, et il me copiera cent fois « Je ne dois pas être insolent avec la
Maîtresse » Et il a intérêt à soigner son écriture, sinon il recommencera,
après une nouvelle raclée bien sûr ! »
« Moi aussi, voyez-vous, je
crois autant à la vertu des lignes qu’à celle des fessées. Et ma gamine le sait
bien. Rien de tel, par exemple, que de copier cent fois une règle d’orthographe
les fesses nues pour qu’elle soit acquise définitivement »
« C’est sûr que les leçons
ainsi apprises entrent plus vite dans les têtes des garnements. A croire qu’il
y a un lien direct entre les fesses et le cerveau ! »
Cette dernière remarque amena les deux femmes à éclater de
rire, accentuant encore la honte et le ressentiment du Garnement. Non seulement
il venait de prendre une raclée carabinée, non seulement il comprenait qu’il
allait être contraint à ces lignes qu’il détestait devoir copier, mais, en
plus, sa Maîtresse se moquait de lui, et sa collègue s’autorisait à l’accompagner.
Et son indignation s’accru encore quand il entendit sa Maîtresse ajouter,
presque joyeusement :
« Ce qui n’empêchera pas que, vendredi,
l’incorrection d’aujourd’hui sera prise en compte dans la fessée récapitulative
de la semaine »
« C’est-à-dire ? »
Interrogea la collègue, à qui la Maîtresse expliqua sans
barguigner :
« Voyez-vous, ce garnement a l’habitude
de noter sur son cahier de punitions toutes ces incartades, et, hélas, malgré
mes efforts, elles restent nombreuses. Et même si elles ont été sanctionnées
sur l’instant, elles n’en sont pas moins comptabilisées pour la fessée qu’il
prend chaque vendredi soir »
« Oh, quelle bonne
idée ! Je pense que je vais instaurer cette règle chez moi, cela sera
sûrement fort utile pour amener des progrès chez ma gamine ! Je vous
remercie pour ce conseil, ma chère »
Conclu-t-elle en se frottant machinalement les mains l’une
contre l’autre comme pour les préparer à agir. Les deux femmes avaient terminé
leur thé, et la collègue s’apprêtait à partir quand elle tourna de nouveau les
yeux vers le Garnement en murmurant, d’un ton presque envieux :
« En tout cas, voilà un
derrière d’un rouge qui fait plaisir à voir ! »
Provocation
Après la fessée qu’il venait de recevoir, et en sachant donc
que la présence de son amie ne dissuadait pas la Maîtresse d’agir comme de
coutume, le Garnement aurait dû savoir qu’il avait tout intérêt à faire profil
bas et à rester silencieux dans son coin, les fesses nues et les mains sagement
posées sur sa tête. Mais la Garnement était … un garnement, justement !
Alors, comme le dit le fabuliste, l’inconscience, la colère, l’humiliation
« et aussi, je pense, quelque diable aussi me poussant » voilà notre
garnement qui grommelle entre ses dents un fatal « d’quoi elle s’mêle, c’te vieille chouette ! » Fatal
surtout parce que la dite chouette avait l’oreille plus fine qu’il ne l’avait
estimé et espéré. Et elle ne fit en effet pas la sourde oreille. Elle
apostropha le Garnement, lui faisant savoir sans autre forme de procès qu’elle
pourrait tout à fait « les rougir
encore un peu plus » La Maîtresse, qui, elle, n’avait pas entendu la
sortie pour le moins inappropriée du Garnement, fut immédiatement mise au
courant de la raison de la remarque acerbe de sa collègue. Et, comme le
Garnement aurait dû s’en douter, la sanction tomba immédiatement. Non seulement
elle assura sa collègue qu’un tel comportement serait sévèrement puni, à la
fois par cent lignes à copier et par une fessée d’anthologie dès le prochain
vendredi, mais surtout, elle invita fort cordialement l’offensée à punir
elle-même l’outrage dont elle avait été victime.
Une experte en fessée
S’il n’avait pas eu les mains sur la tête, la Garnement eut
pu se mordre les doigts, mais de toutes manières, il était trop tard pour
revenir en arrière. Les mots étaient sortis de sa bouche sans même qu’il en ait
anticipé les conséquences, mais celles-ci ne pouvaient plus être évitées. Et
cela, le Garnement le comprit immédiatement. Du reste, celle qu’il venait – il
ne pouvait le nier – d’insulter ne lui laissa aucune illusion. Elle remercia
fort poliment la Maîtresse de sa proposition et se mit en demeure d’y donner
suite :
« Vous avez entendu votre Maîtresse,
garnement ? »
Il n’était évidemment pas nécessaire de répondre, et le
Garnement se contenta de baisser la tête mais de lever les épaules.
« Approchez-vous ! »
Le Garnement se retourna, remettant automatiquement les
mains devant lui. Funeste erreur !
« Je ne pense pas vous avoir autorisé à
retirer vos mains de votre tête ! »
L’interpellation glaça le Garnement. Il hésita une fraction
de seconde. Ne pas changer de position, c’était évidemment risquer une punition
plus sévère. Obéir, c’était laisser voir ce qu’il prenait tant de soin à
cacher. C’est cependant cette seconde solution qu’il adopta. Fermant les yeux,
comme le font les enfants qui croient que s’ils ne voient pas ils ne seront pas
vus, il écarta les mains, laissant
apparaître ce qu’elles cachaient, et les replaça docilement sur sa tête. Renonçant
à tout espoir d’échapper à ce qu’il avait bien compris comme inévitable, le
Garnement continua à avancer, toujours les jambes entravées, vers celle qu’il
venait de qualifier de « vieille chouette », prêt à s’allonger au travers de ses genoux
comme il l’avait fait précédemment au travers de ceux de la Maîtresse. Mais,
avant qu’il puisse le faire, la dame s’était levée, et avait posé le pied
gauche sur une chaise. Et quand le Garnement fut à sa portée, il sentit une
main de fer se plaquer sur sa nuque. En un éclair, il fut plié en deux, le
corps cassé par-dessus la cuisse gauche de la dame, les pieds reposant à peine
par terre. Immédiatement, c’est une véritable tornade qui s’abattit sur le
postérieur du Garnement. Certes, il n’était pas un novice en matière de
fessées, mais celle qu’il recevait fut une véritable révélation. Ce fut un
roulement ininterrompu, une avalanche, un
tsunami. La main montait et descendait sans discontinuer. La pièce résonnait
des claquements, et des cris aigus du Garnement. En moins de temps qu’il n’en
faut pour le dire, son derrière était porté au rouge vif. Jamais, au grand
jamais, le Garnement n’avait ressenti une telle brûlure. La main qui claquait
ses fesses, c’était pire que les lanières du martinet, que la Maîtresse maniait
pourtant avec dextérité. Plus mordant que la badine, que le Garnement craignait
tant. Plus percutant que la brosse à cheveux. Jamais le Garnement n’aurait pu
imaginer qu’une main puisse faire un tel effet. Aussi fier qu’il fût, il
n’essayait même pas de retenir ses cris. Il ne gémissait pas, il criait à pleine
gorge. Il sautillait sur place, mais le bras de la dame le maintenait en place
comme un étau. Son cul était ravagé, massacré, déchiqueté. Et quand, enfin, la
raclée s’interrompit, et que le bras qui le maintenait le libéra, il tomba sur
les genoux, comme un pantin dont on aurait coupé les fils. Magnanime, la dame
le laissa ainsi, en position fœtale, et sanglotant. Et c’est de lui-même, sans
qu’elle ait eu à lui en intimer l’ordre, qu’il finit par se relever, et, en
vacillant sur ses jambes, rejoindre le coin. A peine entendit-il celle qui
venait de lui infliger la plus terrible raclée qu’il n’ait jamais subie inviter
sa Maîtresse à lui rendre visite la semaine suivante.
Cette fessée d’une nouvelle – et terrible – main avait été
une découverte pour le Garnement. La visite que sa Maîtresse et lui rendirent à
la collègue fut l’occasion d’une autre découverte …
Deuxième partie : Plus seul.
En visite
Comme elles en avaient convenu, les deux maîtresses se
retrouvèrent le mercredi suivant, au domicile de celle qui avait été reçue chez
la Maîtresse du Garnement la semaine précédente. Bien entendu, le Garnement
accompagnait sa Maîtresse, qui ne lui avait pas laissé le choix, bien que la
perspective de se retrouver en présence de celle qui lui avait tanné les fesses
d’une telle manière ne le réjouissait guère. Mais quand il avait exprimé ses
réticences, la Maîtresse lui demandé s’il « souhaitait une fessée immédiate, afin qu’il puisse montrer ses fesses
rouges dès leur arrivée », ce qui avait suffit à le convaincre de la
suivre sans barguigner.
Comme il convient en pareilles circonstances, leur hôte
avait servi le thé et les petits gâteaux, après leur avoir présenté celle
qu’elle appelait sa « Gamine » Visiblement désireuse de faire
partager son expérience avec sa collègue, elle s’était mise à lui expliquer,
sur un ton un peu péremptoire, ce qu’elle appelait les « règles de
vie » de sa demeure :
Les règles de vie de « Mademoiselle »
« J’ai eu le plaisir de constater, chère amie, que vous partagiez
mes convictions en matière d’éducation, et je vous en félicite. Je suis, comme
vous, convaincue que la bonne vieille fessée reste le moyen le plus sûr
d’amener gamines et garnements à bien se conduire. Et il me semble que le
recours à la fessée ne doit pas seulement tomber en cas de mauvaise
conduite. »
Devant le regard étonné de la Maîtresse, pour laquelle en
effet la fessée était bien la conséquence d’une faute de la part de son
garnement, sa collègue précisa sa pensée !
« Oh bien sûr, je ne vais pas vous dire que la fessée est une
récompense pour bonne conduite »
Dit-elle en riant.
« Et encore moins que les écarts de conduite de ma gamine ne
provoquent pas de belles et bonnes fessées, comme celle que nous avons eu à
donner à votre garnement. »
Ce rappel des événements de la semaine d’avant provoqua une
grimace de mécontentement sur le visage du Garnement, réaction qui n’échappa
pas à celle qui – elle leur avait indiqué en présentant sa Gamine – se faisait
appeler par elle « Mademoiselle »
« Et comme celle qu’il pourrait bien encore recevoir s’il se
permettait d’exprimer son mécontentement ».
Précision qui suffit pour que le Garnement garda désormais
pour lui ses réactions.
« Ce que je veux dire, ma chère, c’est justement qu’il me semble
qu’il faut intervenir avant les écarts de conduite, pour les éviter, et donc
éviter que nous soyons contraintes de sévir trop souvent. Il est nécessaire, à
mes yeux, que les règles de vie soient toujours présentes à l’esprit de celles et
ceux qui doivent les respecter. Et pour cela une fessée quotidienne me semble
être la meilleure solution. Commencer sa journée avec les fesses rosies par une
fessée matutinale permet à celle qui l’a reçue de ne pas oublier les
conséquences d’une éventuelle inconduite »
Les yeux du Garnement s’écarquillaient. Ainsi la Gamine
recevait-elle la fessée le matin, même sans qu’elle n’ait rien fait de
mal ! Il ne pipait mot, pourtant Mademoiselle sembla répondre à la question
qu’il n’avait pas posée en précisant :
« Une fessée chaque matin, c’est une habitude que je
n’abandonnerais pour rien au monde ! »
Et elle poursuivit même :
« Pas plus que je ne renoncerais à la fessée du soir. Rien de tel
pour préparer une bonne nuit qu’une petite fessée avant d’aller au lit ! »
Intermède
Un mot de trop
Cette fois, le Garnement était si stupéfait qu’il ne put
s’empêcher de murmurer un « Putain ! » du plus mauvais effet, d’autant que – il
aurait pourtant dû s’en souvenir – Mademoiselle avait l’oreille fort fine. Mais
cette fois, la Maîtresse avait aussi entendu cette exclamation mal venue.
Mademoiselle leva les sourcils en regardant sa collègue, qui prit ce regard
interrogatif comme un reproche muet. Elle considéra immédiatement que cette
preuve de mauvaise éducation mettait en question ses qualités d’éducatrice, et
considéra que son honneur était en quelque sorte en jeu. Elle s’excusa, rougissante :
«Je vous prie d’excuser mon Garnement, chère
amie, voilà une de ses mauvaises habitudes que je n’ai pas encore réussi à lui
faire perdre. »
Mademoiselle la rassura avec un sourire ambigu :
« Je vous en prie, ma bonne amie, je
suis bien placée pour savoir que l’éducation est une tâche de longue haleine
… »
Mais elle poursuivit aussi :
« Et je sais qu’il est des
circonstances où la sanction ne saurait attendre … »
L’invitation était on ne peut plus claire, et la Maîtresse,
mise au pied du mur, le comprit fort bien.
« Vous savez ce que coûte un gros mot à
la maison, garnement ? »
Celui-ci ne put que bredouiller :
« Oui, madame … »
« Puisque Mademoiselle nous fait
l’honneur de nous indiquer les règles de vie de sa maison, indiquez- lui donc
le tarif chez nous »
Recevoir la fessée devant une inconnue, puis par celle-ci,
avait été une épreuve marquant pour le Garnement, mais être contraint
d’annoncer lui-même, et devant la Gamine, la punition qu’il encourait lui
apparaissait comme plus difficile encore. Il garda les yeux baissés et
balbutia :
« Non … Madame …s’il vous plait
…. »
Attitude qui ne fit qu’augmenter encore l’exaspération de la
Maîtresse :
« J’attends ! »
Le ton et le regard noir fit comprendre au Garnement qu’il
ne servirait à rien d’espérer que la Maîtresse renonça à son exigence. Vaincu,
il murmura :
« C’est … vingt …martinet … »
La Maîtresse ne releva pas la piètre qualité grammaticale de
la réponse, préférant confirmer :
« En effet, un gros mot,
vingt coups de martinet. Vous savez donc ce qui vous attend ! »
Le Garnement hocha la tête sans rien dire, ayant déjà
compris, en effet, qu’il ne couperait pas à la volée du martinet à son retour à
la maison. Mais son sang se glaça dans ses veines quand il entendit
Mademoiselle commenter :
« Voilà une règle qui me semble de bon
aloi ! Le martinet est un bien bon objet. »
Mais elle ne se contenta pas de cette appréciation, elle
ajouta avec une exquise politesse :
« Si vous voulez emprunter
l’un des miens, il est à votre disposition, ma chère »
Les deux institutrices poursuivirent leur dialogue
surréaliste, en multipliant les politesses jusqu’à ce que Mademoiselle se
tourne vers la Gamine :
« Allez-me chercher
« Bouclette », je suis sûre que la Maîtresse de ce garnement
appréciera cet instrument »
« Bouclette »
Ni l’une ni l’autre ne comprirent spontanément ce que
pouvait être ce « Bouclette », qui portait bizarrement un nom d’animal
familier. Ils le comprirent quand la Gamine revint en portant à bout de bras,
sur les paumes de mains, un martinet au manche rouge et aux lanières e la même
couleur. Mais ils remarquèrent tout les deux que celles-ci étaient en effet
montées en boucles. Mademoiselle semblait très fière de sa découverte, et elle
ne manqua pas d’en faire le panégyrique :
« C’est un instrument dont j’ai fait
l’acquisition il y peu, mais dont je ne
pourrais plus me passer … C’est un bel objet, ne trouvez-vous pas ? »
Et avant que la Maîtresse n’ait pu donner son avis – le
Garnement n’était ni interrogé ni en mesure de le donner – elle continua :
« Mais ce n’est pas qu’un instrument de
décoration, je vous assure. Ma Gamine est bien placée pour savoir que ces
lanières pour le moins originales tiennent toutes leurs promesses. N’est-ce
pas, Gamine ? »
Celle qui était ainsi interpellée tenait toujours le curieux
martinet sur ses mains ouvertes. Le rappel ce l’effet de ce qu’elle portait
amena un léger tremblement, qui se transmit aux lanières. En gardant la tête
baissée, elle marmonna :
« Oh, pour ça, oui, Mademoiselle. Elles
piquent encore plus que celles des autres … »
Visiblement, le souvenir était encore vif dans son esprit,
et, d’instinct, elle se recula jusqu’au mur, comme pour mettre ses propres
fesses à l’abri. Mademoiselle avait auparavant pris l’instrument en main, et
elle faisait danser les lanières courbes dans l’air, avec un sourire presque
gourmand.
Pédagogie
Toujours pédagogue, elle entreprit alors d’initier sa collègue
au maniement de cet instrument dont elle semblait si fière :
« Je ne vais pas avoir la
prétention de vous apprendre à manier un martinet, j’ai bien vu qu’en la
matière, vous n’aviez nul besoin de conseil. Mais, vous le savez, quand on
flagelle les fesses, ce sont leurs extrémités qui risquent le plus de blesser
la peau, ce qui nous impose de limiter la force des cinglées. Avec
« Bouclette », aucun risque, l’arrondi ne risque pas de blesser, on
peut donc y aller de bon cœur, et le ressenti est assez remarquable, si j’en
crois mon expérience. Mais vous me connaissez, il ne s’agit pas de frapper
comme un sourd, mais juste de donner, quand il le faut, ce petit mouvement du
poignet qui fait voler les lanières vers leur objectif »
Et elle mimait la chose, agitant le martinet rouge par
petits coups secs. Elle le mit elle-même entre les mains de la Maîtresse, mais,
affirmant ainsi sa position d’initiatrice, c’est elle qui, en quelque sorte,
prit en main l’organisation de la séance.
« Allez, garnement, préparez-vous.
Etant donné les circonstances, et la présence de ma Gamine, vous allez vous
installer face au mur, les jambes un peu plus écartées, les mains bien à plat
sur la mur »
Sans même songer à discuter, le Garnement prit la position
imposée. Mademoiselle la rectifia cependant, baissant les mains pour imposer au
Garnement d’être plus penché, et donc de mieux présenter son postérieur. Elle
recula alors de quelques pas, semblant apprécier si tout était conforme à ses
souhaits, puis elle demanda à la Maîtresse :
« Vous me permettez de la
baisser ? »
Elle n’avait pas besoin de préciser de quoi elle parlait, la
Maîtresse acquiesça d’un mouvement de tête, et le garnement comprit, lui aussi
qu’il s’agissait bien de sa culotte. Et, en effet, Mademoiselle passa ses mains
autour de la taille du Garnement, ouvrit le bouton de la ceinture, puis la
braguette, et fit descendre le pantalon jusqu’aux chevilles. Un court instant,
le Garnement espéra qu’en présence de sa Gamine, elle ait décidé de lui laisser
le slip. Mais il dû vite déchanter. Si Mademoiselle avait voulu qu’il
s’installe face au mur, c’était, justement, pour que le slip puisse être baissé
sans que ce qu’il ne convenait pas que la Gamine découvre soit visible. Par
contre, aux yeux de Mademoiselle, que sa Gamine découvre les fesses nues d’un
garnement n’avait rien de répréhensible. Elle passa donc deux doigts sous
l’élastique du slip, et fit glisser celui-ci sous les fesses. Le Garnement se
retrouva donc le derrière à l’air, en sachant que celui-ci était vu par la
Gamine, même s’il ne se rendait pas compte que, ses jambes étant écartées, la
dite Gamine, comme la Maîtresse et Mademoiselle, pouvait aussi apercevoir une
autre partie de son anatomie que sa position face au mur aurait dû préserver.
Découverte
A vrai dire, le Garnement n’eut pas vraiment le temps de
s’en soucier. A peine était-il cul nu que, sur un geste d’invitation de
Mademoiselle, la Maîtresse entrait en action. Dès le premier coup, il comprit à
quel point cet instrument était insupportable. Peut-être, comme l’avait
prétendu Mademoiselle, risquait-il moins de blesser, mais la sensation était
comme multipliée. Il avait l’impression que
tout son derrière était mordu à
chaque fois. Il faut dire que la Maîtresse avait très vite adopté la technique
adéquate, lançant les lanières courbes d’un ample mouvement du bras, et les
faisant claquer sur les fesses par un bref mouvement du poignet. Elles
s’étalaient ainsi comme une chevelure, enveloppant les fesses d’un mouvement
ample et brûlant. A chaque coup, le Garnement sautait littéralement sur place.
Il avait toutes les peines du monde à ne pas tenter de protéger ses fesses de
ses mains, sachant très bien que cela lui vaudrait un supplément qu’il voulait
à tout prix éviter. Mais il ne pouvait s’empêcher ni de sautiller, ni d’agiter
les fesses de droite à gauche, ni surtout de marquer chaque nouvel assaut des
terribles langues de cuir par un cri déchirant. Il n’était capable ni de
compter les coups, ni de maîtriser ses sauts de carpes qui faisaient aussi
danser ce qu’il aurait dû cacher.
Quand « Bouclette » eut ainsi mordu cruellement le
derrière du Garnement à vingt reprises, la Maîtresse reposa le martinet, et
n’eut qu’à lancer :
« Debout, et les mains sur la
tête »
Pour que la Garnement se retrouve au coin, ou en tout cas
nez au mur, sans même qu’il ait eu à bouger. Mademoiselle proposa alors à la
Maîtresse de se désaltérer, puis elle reprit les explications sur les règles de
vie de la maison, comme si de rien n’était.
Des règles appliquées
« Bien entendu, ces fessées
quotidiennes, si elles ont leur vertus, n’empêchent pas qu’il soit parfois
nécessaire de passer à un stade supérieur. Je veux dire que malgré ces fessées
matinales et vespérales, il arrive à ma Gamine de n’être pas assez attentive,
ou de se laisser aller à quelques propos déplacés. Et dans ce cas, comme vous,
ma chère, il me faut bien sévir. »
Elle se mit alors à détailler longuement les punitions que
subissait sa Gamine selon les fautes. Mademoiselle avait établie tout un
barème, chaque type de faute d’orthographe correspondant à une punition et à
une fessée. Puisque, comme elle l’expliqua, les lignes à copier lui
paraissaient le complément indispensable des fessées. Encore précisa-t-elle,
mais à voix basse pour que seule la Maîtresse eut connaissance de ce détail,
que les punitions devaient alors être écrites les fesses nues. Mademoiselle
continua ainsi à expliquer dans le détail ses méthodes éducatives, et donc les
punitions que recevait régulièrement la Gamine. A ce sujet, elle convint que
l’expérience de la fessée reçue par le Garnement la semaine précédente l’avait
convaincue qu’il était temps, pour sa Gamine, de connaître la même expérience.
En l’entendant envisager cette configuration, la Gamine
tenta de la faire fléchir :
« Mademoiselle, s’il vous plait … je
…je ne veux pas …y’a pas de raison … »
Mal lui en prit. Avec un sourire à la fois narquois et
mutin, la Maîtresse admit :
« En effet, il n’y avait pas de raison
de sévir … jusqu’à ce que j’entende ce « je ne veux pas » ma petite.
Tu sais très bien que ce sont des mots que je ne veux pas entendre. »
La Gamine se mordit les lèvres, elle avait déjà compris que
Mademoiselle l’avait amenée là où elle voulait, et que rien ne pourrait la
faire renoncer à ses intentions.
Permutation
Mademoiselle proposa à la Maîtresse de mettre fin à la mise
au coin de son Garnement. Elle suggéra qu’on l’autorise d’abord à remonter sa
culotte, puis à se retourner et à aller s’asseoir. Ce qu’il fit, non sans
réprimer une grimace de douleur quand son fondement mis à vif se pos sur le
siège. Elle s’adressa alors à sa Gamine, toujours d’un ton presque mutin :
« On va varier les plaisirs ; tu
peux aller raccrocher « Bouclette », et tu ramènes
« Claquante »
Elle n’eut pas à le répéter deux fois, ni à expliquer ce qu’elle attendait.. La Gamine prit le martinet qui
avait mis à mal les fesses du Garnement, et elle quitta la pièce. Pendant son
absence, Mademoiselle expliquait presque fièrement à sa collègue :
« Eh oui, j’ai pris l’habitude de
donner des petits noms à mes instruments … Vous connaissez déjà
« Bouclette » dont votre Garnement a goûté, vous allez découvrir « Claquante » qui, vous verrez,
porte bien son nom. Mais j’ai aussi « Sifflante » , une jolie badine
que ma Gamine craint beaucoup, et « La canne » que j’ai gardée d’un
séjour dans un collège anglais, mais dont l’usage est réservé à des adeptes …
habitués »
Elle n’en dit pas plus, mais la Maîtresse comprit bien que
la Gamine n’était pas la seule dont les fesses étaient parfois malmenées par
Mademoiselle. Elle ne posa pourtant pas de question, un peu abasourdie, mais
pourtant attentive, voire captivée par
les révélations de sa collègue. Le Garnement, lui, restait coit et silencieux.
Quand la Gamine reparue, elle portait, de la même manière que le martinet plus
tôt, posée sur ses paumes ouvertes, une large bande de cuir fauve terminée par
une sorte de poignée. Mademoiselle prit l’instrument en main, et le fit claquer
à petits coups sur sa paume, tout en montrant du menton la place qu’avait
libérée le Garnement. Sans qu’elle ait besoin d’en faire plus, la Gamine
s’installa dans la position qui avait été imposée au Garnement. Visiblement,
elle y était habituée. Mais auparavant, deux ordres brefs avaient été
lancés ;
« Tu relèves ! Tu baisses !»
Docilement, la Gamine troussa sa jupette au-dessus de ses
reins. Bien entendu le Garnement ne perdait pas une miette du spectacle. Ses
yeux sortaient presque de sa tête quand il découvrit le haut des cuisses et
quand la petite culotte apparu. Et quand la Gamine baissa celle-ci jusqu’à la
pliure des cuisses, il faillit manquer d’air. Et plus encore quand
« Claquante » s’abattit avec un bruit mat sur le postérieur de la
Gamine. Celle-ci sursauta, lâcha un cri de souris prise au piège, s’ébroua
comme si elle sortait de l’eau, mais reprit sa position, se cambrant même comme
si elle voulait offrir mieux encore son postérieur à cet instrument qui,
pourtant, avait, dès le premier coup, laissé une large marque rouge au travers
des fesses. Après trois ou quatre volées, le cul était entièrement cramoisi.
Mademoiselle poursuivit pourtant sa tâche, attentive, concentrée, claquant
aussi le haut des cuisses. Les cris de la Gamine se firent alors encore plus
aigus, mais elle ne quitta pas pour autant sa position. Mais après le douzième
coup, elle s’écroula littéralement, tombant à genoux en sanglotant doucement.
Mademoiselle, magnanime, l’autorisa alors à rester ainsi pour son séjour au
coin, et le Garnement eut bien du mal à quitter des yeux ce postérieur carmin
et presque luminescent.
Perspectives
Quand Mademoiselle eut décidé que le séjour au coin avait
assez duré, la Gamine reprit sa place, et grignota un biscuit. Si ce n’est le
fait qu’elle gigotait sur sa chaise dans l’espoir de calmer l’irritation de son
fondement, le tableau était tout à fait celui d’un banal goûter entre deux
dames et leurs élèves. Ceux-ci, en effet, veillaient à ce que rien dans leur
attitude ne puisse entraîner une nouvelle séance punitive pour leurs arrières.
La Maîtresse et Mademoiselle avaient repris leur conversation sur les vertus
des punitions corporelles, et elles en étaient déjà à envisager d’unir leurs
efforts. En effet, Mademoiselle révélait à la Maîtresse qu’il lui arrivait de
réunir quelques gamines et quelques gamins.
« Et croyez-moi, chère collègue, nous
ne serions parfois par trop de deux pour faire travailler comme il convient
cette petite classe. De plus, j’ai
constaté que la perspective de la fessée déculottée devant tout le monde est une forte motivation pour bien
travailler. »
Le Garnement compritddde donc que cette fessée en public, si
elle était la première, ne serait pas la dernière. Certes, il avait des raisons
de craindre que « Bouclette » « Claquante » ou quelque
autre des instruments auxquels avait fait allusion Mademoiselle, fasse passer
des moments plus que percutants à ses fesses. Mais le spectacle de celles
d’autres gamines pareillement traitées provoquait chez lui une crispation de
bon aloi. Voir rougir le postérieur d’autres élèves, voilà une perspective fort
réjouissante pour lui. Même s’il était bien conscient qu’elles aussi
découvriraient son popotin. Et, il devait bien se l’avouer, cette perspective
aussi avait un effet immédiat sur sa virilité.
Révélation
D’autant que, bien sûr, il avait comprit, et le lecteur
découvrira maintenant, que les gamines et les garnements concernés seraient,
comme « La » Gamine et « Le » Garnement de grandes filles
et de grands garçons quinquagénaires si ce n’est sexagénaires, mais qui savent
qu’il n’y a pas d’âge pour la fessée …
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