Les punitions du garnement
Les punitions du Garnement
Les décisions de la Maîtresse
Depuis qu’elle avait pris en main le suivi du Garnement, la
Maîtresse avait compris que, quelle que soit son attention pour lui, ou plutôt
à cause de celle-ci, les punitions étaient nécessaires. Sans elles, le
Garnement retombait inévitablement dans ses funestes habitudes d’étourderies
sinon de paresse.
Les lignes
Dès le début, les fautes d’orthographe avaient été
sanctionnées par l’obligation, pour le garnement, de copier les règles qu’il
avait oubliées La Maîtresse s’était réjouie de constater qu’après avoir copié
vingt ou trente fois une règle, le Garnement l’appliquait correctement. Ainsi,
après avoir copié trente fois « Il
n’y a pas de « s » à beaucoup » le Garnement écrivait sans
faute le mot, sans qu’elle ait besoin de lui rappeler la règle. La même
punition sanctionnait aussi d’autres formes de mauvais comportement de la part
du Garnement. Après avoir dû copier cent fois « Je ne dois pas répliquer à la Maîtresse » en effet, le
Garnement était devenu beaucoup plus poli et respectueux. Encore qu’après
quelques semaines sans punition, il retombait trop souvent dans ses mauvaises
habitudes. La Maîtresse avait donc été contrainte de prendre des mesures plus
radicales.
Les fessées
La fessée était ainsi entrée dans les règles de vie du
Garnement. Et, très vite, la Maîtresse avait constaté les effets positifs de la
méthode. La perspective d’une fessée déculottée améliorait sensiblement
l’attention du Garnement, et ses écarts de conduite se réduisaient
instantanément après qu’il soit passé par les genoux de la Maîtresse. Pourtant,
elle avait aussi constaté que, dès que la Garnement avait échappé à la fessée
pendant quelques jours, il retombait dans ses mauvaises habitudes. Elle avait
donc été contrainte d’instaurer la fessée de manière systématique.
Les fessées quotidiennes
Les premières fessées qu’avait reçues le Garnement avaient
été motivées par des fautes que la Maîtresse jugeait impardonnables, ou par des
comportements insolents, ce que la Maîtresse ne tolérait sous aucun prétexte.
Mais les récidives de la part du Garnement avaient amené la Maîtresse à
instaurer les fessées quotidiennes, indépendamment même du comportement du
Garnement.
La fessée du matin
Ainsi, chaque matin, il était convenu que le Garnement
devait recevoir sa fessée du matin, afin qu’il ait bien en tête la nécessité de
veiller à son comportement. Après la douche, le Garnement se présentait à la
Maîtresse et il était convenu qu’il devait, lui-même, lui demander sa fessée.
S’il lui arrivait d’oublier de le faire, il la recevait quand même, mais
doublée, et il devait inscrire cet oubli, qu’il soit volontaire ou non, sur son
cahier de punition, avec les conséquences qu’il connaissait.
Selon l’humeur et les contraintes de temps de la Maîtresse,
elle faisait se pencher le Garnement en
le maintenant sous son bras gauche tandis que sa main droite lui claquait les
fesses, ou elle prenait le temps de s’asseoir et d’installer le Garnement au
travers de ses genoux. Auparavant, le Garnement devait baisser lui-même son
pantalon et son slip, la Maîtresse ne concevant pas la fessée autrement que cul
nu. Elle appliquait alors une douzaine de claques bien senties sur les fesses
nues, qui rougissaient immédiatement. Le Garnement pouvait alors se redresser
et remonter sa culotte, mais sous réserve qu’il ait auparavant remercier
poliment la Maîtresse. Là aussi, s’il oubliait de le faire, ou si la Maîtresse
estimait qu’il l’avait fait sur un ton insuffisamment respectueux, il recevait
immédiatement une autre douzaines de claques et surtout il devait inscrire ce
que la Maîtresse considérait comme une insolence sur son cahier de punitions.
La fessée du soir
De la même manière, avant de se coucher, après avoir pris sa
douche et s’être lavé les dents, le Garnement mettait son pyjama et attendait
la Maîtresse dans sa chambre. Quand elle le rejoignait, elle s’asseyait sur le
lit, le Garnement baissait la culotte du pyjama et prenait place au travers des
genoux de la Maîtresse pour recevoir sa douzaine de claques. Le derrière,
encore un peu humide de la toilette, marquait alors plus vite que lors de la
fessée du matin, et il n‘était pas rare que le Garnement laisse échapper
quelques gémissements. Il devait cependant, comme le matin, remercier la
Maîtresse de s’être ainsi occupée de lui, avec les mêmes conséquences s’il
omettait de le faire. A cette occasion, bien entendu, si la Maîtresse
constatait que le Garnement n’était pas impeccablement propre, il recevait un
petit supplément de claques, puis retournait se laver correctement. Après quoi,
il repassait sur les genoux de la Maîtresse pour une nouvelle douzaine, et bien
sûr, il ajoutait cela sur son cahier de punitions. Après la – ou les – fessées,
le Garnement pouvait se coucher, illustrant ce qui était devenu une sorte de
précepte pour la Maîtresse : « Une
fessée et au lit »
Les fessée punitives
Mais ces fessées quotidiennes n’excluaient évidemment pas
d’autres fessée, motivées celles-là par les comportements du Garnement.
Les fessées pédagogiques
Quand il arrivait au Garnement de faire des fautes
d’orthographe que la Maîtresse considérait comme impardonnables, celles-ci entraînaient[1]
une fessée dont la sévérité était proportionnelle à la gravité de la faute.
Ainsi, s’il arrivait que la Garnement n’applique pas une règle pourtant
expliquée et parfois même copiée, c’était inévitablement trois douzaines de claques
cul nu. Et, en cas de fautes vraiment grossières, la Maîtresse sortait le
martinet, voire même la brosse à cheveux, que le Garnement craignait beaucoup.
Les fessées pour insolence
L’insolence était ce que la Maitresse supportait le moins.
Elle entraînait systématiquement l’usage de la terrible brosse à cheveux.
Celle-ci, maniée avec ardeur par la Maîtresse portait le derrière du Garnement
au rouge vif, et le décorait de longues lignes violettes.
Cul nu !
Bien entendu, ces fessées, qu’elles soient données à la
main, au martinet, à la brosse ou à coups de règle de bois, étaient reçues cul
nu. Mais le Garnement devait, en plus, subir la honte d’être déculotté par la
Maîtresse. Celle-ci dégrafait prestement la ceinture du pantalon, baissait
celui-ci jusqu’aux chevilles du Garnement, puis glissait deux doigts sous
l’élastique du slip et faisait descendre celui-ci aux genoux. Et c’est donc le
cul déjà à l’air que le Garnement devait lire à haute voix les motifs de sa
punition. La Maîtresse indiquait alors la punition qu’avait méritée le
Garnement, qui savait ainsi à quoi s’en tenir. Par exemple :
« Quatre fautes
de conjugaison dans la dictée de mardi »
Quarante claques, cul
nu !
« Deux
« s » oubliés à des mots au pluriel dans la dictée de jeudi »
Vingt coups de règle, cul
nu !
« Protestation
impolie après la fessée du matin vendredi »
Vingt coups de martinet,
plus vingt coups de brosse, cul nu !
« Dissimulation
et mensonges vendredi »
Trente coups de martinet,
plus trente coups de brosse, cul nu !
Position
Pour les fessés manuelles, la Maîtresse plaçait le plus
souvent le Garnement au travers de ses genoux, après avoir relevé su jupe sur
ses cuisses. Mais quand elle usait d’instruments elle exigeait que le Garnement
aille s’installer, penché sur son pupitre. Il devait alors rejoindre celui-ci,
les pieds entravés par son pantalon, et en veillant à ce que le slip reste au
niveau de ses genoux, puis se pencher, les mains à plat sur le bureau, et les
fesses bien présentées.
Instruments
Avec le temps, la Maîtresse avait pris une sorte d’habitude.
Les séances de punitions commençaient toujours par une vigoureuse fessée à la
main, jamais moins d’une cinquantaine de claques, qui rougissaient le derrière
et parfois le haut des cuisses où la main s’égarait. C’était, aux yeux de la
Maîtresse, une sorte de mise en route, de préparation, après laquelle la vraie
fessée commençait.
C’est toujours le martinet qui entrait en scène le premier.
Un bon vieux martinet, au manche d’un bleu délavé, et munis d’une quinzaine de
lanières de cuir épaisses. Cette chevelure de cuir claquait sur les fesses
offertes avec un chuintement assez semblable au bruit du vent dans le feuillage
des arbres. La Maîtresse veillait à bien appliquer les coups alternativement
sur chaque fesse, et ils y laissaient de belles marques bien visibles. Si la
Garnement gigotait et laisser échapper des cris de douleur, il n’ignorait
cependant pas que cette flagellation était presque bénigne au regard de ce qui
allait inéluctablement suivre. En effet la brosse à cheveux, avec son dos de
bois clair, avait, sur le postérieur déjà irrité par les volées du martinet, un
impact bien plus percutant. Chaque coup ébranlait le pauvre derrière, faisait
tressauter les fesses, et laissait une trace d’abord blanche, comme celle que
laisse un pas sur le sable mouillé, puis rouge avant de virer au violet. Le Garnement
trépignait, sautillait, agitait les fesses, mais veillait à réprimer son envie
de se protéger les fesses des mains. Il savait en effet que si cela lui
arrivait, la Maîtresse recommencerait la série depuis le début. Il arrivait
ainsi qu’une tentative de protection après quatorze coups de brosse entraîne
quinze coups de plus. Il en était de même quand la Maîtresse s’emparait de la
règle carrée, que le Garnement craignait plus que tout. En effet, celle-ci
frappait cruellement un derrière déjà bien échauffé, et qui se zébrait de
marques bien visibles.
Au coin !
Entre chaque instrument, puis à la fin de la fessée, la
Garnement faisait rituellement un séjour « au coin » Cul nu, et mains
sur la tête, il restait aussi longtemps que la Maîtresse en avait décidé, ce
qui, selon elle, lui laissait le temps de réfléchir à sa conduite. Et laissait
le temps à la Maîtresse de constater l’effet de la raclée sur la couleur des
fesses du Garnement. La séance se terminait toujours par une dernière volée à
la main, le Garnement allongé sur les genoux de la Maîtresse, en guise de
conclusion. Après quoi, et après avoir bien entendu remercié la Maîtresse, il
pouvait enfin remonter sa culotte.
Devant tout le monde
Le plus souvent, le Garnement était puni dans l’intimité.
Mais il arrivait parfois, à son grand
dam, qu’il en soit différemment.
Fessées impromptues
Une impolitesse, une insolence, ou, pire encore, un gros mot
de la part du Garnement, lui valaient inéluctablement une fessée immédiate,
même si une collègue ou une amie de la Maîtresse était présente. A la fessée
s’ajoutait alors, pour lui, la honte d’être ainsi déculotté et mis la lune à
l’air « devant tout le monde » Et la présence d’un témoin ne lui
évitait pas l’incontournable passage au coin.
Fessées à quatre mains
Une des collègues de la Maîtresse ayant ainsi, un mercredi
après-midi, assisté à une fessée motivée par une grossièreté que la Maîtresse
avait décidé de sanctionner sur l’heure, félicita son amie pour ses méthodes
éducatives, ajoutant qu’elle pratiquait de la même manière avec celle qu’elle
appelait « sa gamine » Ajoutant qu’à ses yeux, rien ne valait « une bonne fessée cul nu » pour
« la ramener dans le droit chemin »
elle commenta[2] en riant : «Et je suis bien sûre qu’il en est de même pour ce grand garnement, qui
a maintenant les fesses bien rouges » Vexé et humilié par cette remarque
ironique, le Garnement eut la très mauvaise idée de marmonner entre ses
dents : « D’qui qu’elle s’mêle,
c’te vielle chouette ? » Mais celle qu’il qualifiait ainsi avait,
malheureusement pour lui, l’oreille plus fine qu’il ne l’avait pensé. Aussi
s’exclama-t-elle immédiatement : « Oh,
mais la vielle chouette pourrait vous les rougir encore un peu plus, vous
savez ! » Informée de la raison de cette sortie de sa collègue,
la Maîtresse, outrée de l’audace et de l’insolence caractérisée du Garnement,
décréta immédiatement : « Mais
bien sûr, chère collègue ! N’ayez crainte, cette insolence sera
sanctionnée sans faiblesse ! Mais il me semble plus que juste qu’avant la
fessée carabinée – en plus des cent lignes de « je dois respecter les
collègues de ma Maîtresse comme elle-même » qu’il ne manquera pas de me copier
avant mercredi prochain – qu’il recevra de ma main dès demain, vous punissiez
vous-même l’outrage dont vous avez été la victime »
Le Garnement eut beau s’excuser, promettre de ne jamais plus
recommencer, implorer la clémence de la Maîtresse, celle-ci resta inflexible,
et invita sa collègue à agir sur le champ. Elle ne se fit pas prier, et le
Garnement se retrouva sur ses genoux en moins de temps qu’il n’en faut pour le
dire. Il put[3] alors
constater que la main qui lui claquait les fesses était plus cinglante encore
que celle qui le faisait habituellement. Il n’eût pas à se déculotter,
puisqu’il avait déjà les fesses à l’air, mais elle exigea qu’il vienne « s’installer » en laissant
ses mains sur la tête, exposant ainsi impudiquement son intimité. La honte vint donc s’ajouter à une fessée
magistrale, qui porta son derrière au rouge carmin.
Et à deux postérieurs
Au moment de partir, et après qu’il se fût excusé pour sa
conduite, celle qui venait de lui tanner ainsi la peau des fesses proposa à la
Maîtresse de lui rendre visite le mercredi suivant, en ajoutant, avec un
sourire ambigu « Et amenez donc
votre Garnement, j’aurai [4]quelques
comptes à régler avec ma Gamine, nous pourrons faire en quelque sorte … d’une
pierre deux coups » Toute la semaine, le Garnement se demanda ce
qu’elle avait voulu dire par là. Et ce qu’il craignait arriva. Le mercredi
suivant, c’est chez la collègue de la Maîtresse, mais surtout en présence de la
Gamine, qu’il fut puni, déculotté, fessé et mis au coin. S’il fut,
exceptionnellement, autorisé à cacher le plus secret de lui-même de ses mains,
il n’en fut pas moins mis le derrière à l’air. Mais, en compensation en quelque
sorte, il assista lui aussi, à la fessée magistrale que prit la Gamine après
que sa lune ait été aussi dénudée. Voir la jupette de celle-ci retroussée, et
sa petite culotte baissée avant que ses fesses rondes et roses soit rougies
alors qu’elle agitait frénétiquement les jambes puis qu’elle prenne place à ses
côté au coin le consola quelque peu de la fessée qu’il reçut lui aussi.
Sommaire
Commentaires
Enregistrer un commentaire